La FSU condamne cette attaque frontale qui va désorganiser le service public, donner lieu à des passe-droits et à des petits arrangements, tout en limitant encore un peu plus les perspectives de mutation.
Face à un Président de la République et un Gouvernement qui continuent de faire la sourde oreille aux revendications portées par les organisations syndicales des travailleurs-euses, il est temps de nous faire entendre !
Depuis 2017, le SNESUP-FSU et le SNEP-FSU ne cessent d’alerter le ministère et le gouvernement sur la nécessité d’un plan de rattrapage pour les filières STAPS