« Qui veut tuer son chien l’accuse d’avoir la rage »
Pour justifier son projet de réforme dégradant les conditions du droit à la retraite, le gouvernement s’enferre dans un nouveau mensonge : celui de la nécessité d’un « retour à l’équilibre du système ». Et qu’importe si les projections du Conseil d’Orientation des Retraites (COR) montrent que le déficit susceptible d’intervenir serait tout à la fois conjoncturel et modéré et que le système est aujourd’hui excédentaire de 900 millions d’euros.

Alerte sur la retraite progressive
Le manque d’anticipation des services ministériels met de nombreux·euses collègues en difficulté