TOUT COMMENCE À L’ÉCOLE !
Le SNEP-FSU et les enseignant.es attendent que 2026 devienne une année concrète pour l’EPS.
La Semaine de l’EPS, du 17 au 21 novembre, aura pour slogan : » Moins d’inégalités, plus d’EPS « , pour faire la démonstration que 4 h, ici et maintenant, sont sans aucun doute la mesure clé pour inverser la courbe.
Sportif·ve de haut niveau, citoyen·ne actif·ve et sportif·ve, sportif·ve occasionnel·le, pratiquant·e amateur·rice, bénévole engagé·e dans la vie associative… Tous ces parcours ont un point commun : l’école. ON NE NAÎT PAS SPORTIF·VE, ON LE DEVIENT.
Courir, nager, grimper, danser, faire du vélo, boxer engage l’individu dans toutes ses dimensions et permet de s’éprouver, de se prouver, de rencontrer l’autre, d’accéder à la culture, de s’émanciper, de vivre des émotions, du plaisir et de construire la confiance en soi.
Toutes ces pratiques sportives s’apprennent. Pas dans la cour de récréation en bougeant, mais dans les gymnases, les piscines, les stades, avec des enseignant·es formé·es.
Pour les enfants et la jeunesse, apprendre à l’école dans les cours d’EPS permet de lutter contre les inégalités d’accès et d’augmenter le niveau moyen de compétences sportives. Deux éléments qui permettront d’entrer positivement dans une habitude de pratique pérenne.
Si tout commence par le mouvement, tout continue par une EPS de qualité, pour tous et toutes, sur tout le territoire. C’est là que se joue l’avenir sportif, sanitaire, social et même démocratique de notre jeunesse.
4 h d’EPS permettront de répondre au monde de la santé qui cherche à inverser la courbe de la sédentarité et au monde du sport qui veut élargir son nombre de pratiquant·es et de sportif·ves de haut niveau.






