Rester mobilisé·es
Permettez-nous, d’abord de vous souhaiter un bon printemps et une sortie, que nous souhaitons voir se confirmer, de la pandémie et des contraintes qu’elle entraîne.
Au moment où nous écrivons, l’actualité est, et restera sans doute dominée, dans les semaines à venir, par deux sujets :
- la guerre en Ukraine, ses conséquences pour les peuples pris dans le conflit, ses retombées économiques et les dangers qu’elle recèle pour la paix ;
- l’élection présidentielle française et les élections législatives qui suivront.
Ce contexte tend à faire passer au second plan les questions sociales, dont les sujets qui concernent au premier plan les retraités : le pouvoir d’achat notamment des pensions, la santé dans toutes ses dimensions (médecine de ville, hôpital, prévention, handicap et dépendance, médicaments), les services publics. Des problèmes continuent de se poser dans ces trois domaines notamment. Le scandale des EHPAD, cette honte pour notre nation, en est une illustration des plus parlantes ; mais il y en a d’autres.
Mais mars aura aussi été un mois de mobilisations sociales, le 8 pour les droits des femmes, le 12 pour le climat, le 17 en interprofessionnelle notamment pour le pouvoir d’achat et l’emploi, le 24 avec les retraité·es pour les pensions, la santé, les services publics.
Quel que soit le résultat des élections, pour imposer la présence de nos revendications dans le débat public et en faire progresser la prise en compte et la traduction dans les faits, nous devons poursuivre dans cette voie.
